Alyss Greggson

III. Présentation du Pouvoir

Savoir commun logique. [Commun dans le sens de communauté.]

Alyss peut savoir les choses en remontant les génération. Enfin, elle n'as pas trop conscience du procédé ni de jusqu'où les générations peuvent s'étendre, mais jusqu'à présent assez longtemps pour avoir jusqu'aux calculs même qui ont mené à savoir la circonférence de la terre. Bon, si elle s’intéresserait à l'astronomie elle aurait plein de calculs amusant à faire, mais c'est difficile l'astronomie dans une caverne... non?

Nuance; Elle ne peux pas connaitre le passé d'une personne. Elle peut cependant avoir accès concrètement au savoir acquis et logique. Par exemple, si on était dans un temps préhistorique et que ton ancêtre avait découvert comment faire du feu, elle saurais à ton contact intuitivement comment faire un feu.

Quand on précise logique, c'est tout ce qui est calcul ou qui as un sens logique irréfutable. Elle n'as pas accès aux pensées philosophique. Autant dire qu'elle pourrait lire les pensées, ce qui est absurde. Mais elle pourrait par exemple être en mesure d'appliquer intuitivement tous les calculs de Pythagore très aisément. Si ton père apprendrais à faire une bombe nucléaire à partir d'herbes et qu'elle commencerait ;a discuter avec toi, elle pourrait intuitivement savoir comment en recréer une autre, ou avoir en tête une formule qui découlerait vers cela, ce qui ne veut pas dire qu'elle ferait tout de suite le lien logique.

IV. Apparence & Personnalité

Apparence;

L’apparence d’Alyss à quelque chose qui cri, qui force au regard. On ne peut pas réellement être dans la même pièce qu’elle et ne pas la remarquer, sauf si vous êtes aveugle, nous vous en excuserons sur le champ. C’est magnétique. Au début, on ne s’en rend pas compte. Mais quelques détails attirent sans que l’on puisse mettre des mots dessus. Et bien vite, on se rend compte que l’on n’a pas affaire à n’importe qui.

Pas à cause de son physique, celui-là même sur une autre personne ne créerait pas le même effet. On pourrait même dire de son physique qu’il est quelque peu banal. Non, c’est son caractère qui dégage cette force physique. Il parait que tout se joue dans les yeux. Dans son expression. Dans sa posture droite et fière. Dans sa voix pourtant doucement grave qui n'as rien d'une voix d'enfant. De ses intonations légère mais directe que l'on ne s’attend pas à voir sortir de ses minces lèvres. À son visage, on s’attend tout de suite à des octaves plus hauts.  

Ça ne vous indique cependant pas grand-chose. De la racine de la tête pour débuter, les cheveux de la Greggson sont d’un blond légèrement cendré, coupé à la nuque en dégradé, les mèches les plus longues lui arrivant en haut de la poitrine. Une forte crinière d’ailleurs, qu’elle se doit de brosser à tous les jours en dépit de leur longueur. Un air rieur, avec son nez pointu et ses sourcils arqués, la bouche légèrement entrouverte, laissant paraitre quelques dents de temps à autre. Elle ne semble pas souvent rire, mais aborde constamment cet air rieur, que l’on hésite entre hautain ou simplement amusé.

Puis il y a les yeux. Ces yeux bleu et vert. Pourtant ce n’est pas la couleur qui frappe. C’est ce qu’ils dégagent. C’est ce qu’ils regardent. Au loin, droit devant. Peut-être vous, aussi, mais ils semblent regarder trop loin dans vous. Droite, elle reste droite, n’as aucune gêne à regarder les personnes droit dans les yeux. Il y a peut-être quelque chose qu’elle trouve d’intéressant à regarder dans les pupilles, dans l’iris, dans ces globes oculaires. On n’en sait trop rien.

Puis il y a le reste de l'enveloppe charnelle. Un corps de femme tout ce qu'il y a de plus banal. Quelques grains de beauté sur l'épaule droite, quelques duvet blond sur les bras, quelques autres détails ci et là. De ce qui est le plus visible serait ses vêtements, démontrant une certaine fortune mais pas trop. De toute manière Alyss n'as pas de style vestimentaire à proprement parler.

Personnalité;

Là par contre ça devient tout de suite plus compliquer. Alyss ne se considère pas comme quelque chose en tant que tel. On pourrait dire qu'elle est philosophe, mathématicienne, enseignante. Un peu de tout. C'est vrai et faux. Elle est trop provocante, aime trop confronter. Elle aime et elle déteste, elle vit comme elle meurt. Elle est une opposition. Comme tout le monde. Mais assumé, compris, su et vécu. Allons-y en sous catégorie, lentement, pour essayer de démeller tout ça.

SAVOIR

Le savoir est quelque chose d'important pour Alyss. C'est la base primordiale. Elle aurait pu être à effigie de Socrate et se promener en sachant qu'elle ne sait pas et en voulant ébranler les fondements de ceux qui pensent savoir. Elle aurait aimer, mais elle sait qu'elle sait plus que ce qu'elle ne sait pas. Et puis elle fait un peu Socrate d'elle-même déjà. À aller parler aux gens, les confronter sur leur croyance, parler, ébranler les convictions. Allons donc, on a connu des meilleurs système que celui-ci. Il existe des érudits. Bien avant. Et il y a des gens qui possèdent la connaissance. Dans toutes les société, la connaissance à entrainer des mouvements de révolution, de changement. Ici, et ben non, personne ne cherche a savoir ce qu'il se passe réellement de l'autre côté. Ça ne tiens pas sous le sens. Mais qu'est-ce que le sens? Le sens commun, c'est donc [...]

Alyss est une tête intelligence, mais qui ne s'arrête pas seulement aux faits. Elle connais la plupart des doctrines qui ont eu cours avant la deuxième guerre mondiale, elle connait les œuvres presque par coeur de ce qui as pu en rester. C'est une tradition de famille, perpétuer le savoir, et elle en est la très digne représentante. Cependant, sa sorte d'intelligence et façon de parler sont un peu spéciale, frappent aux abords. Et ça lui plait bien ainsi, merci.

Et elle ne fait pas que savoir, elle réfléchit, remet en question, pose des questions, parfois un peu ridicule. Elle a une rhétorique qui se veut surréaliste, d'où la comparaison de sa sœur avec le chat d'Alice au pays des merveille, qui lui convient bien mieux que le rôle d'Alice (Le livre ayant été écrit pour apprendre les base des mathématiques à Alice qui était une réelle cancre des mathématique, ce qui n'est clairement pas le cas d'Alyss. Enfin, on y reviendras dans l'histoire.)

Elle aime inconditionnellement les réaction des gens. Alyss n'as pas le caractère ni le talent pour être psychologue, mais elle aurait bien aimer. Sa spécialité reste les chiffres, le rationnel, même si la philosophie lui font bien plaisir, même si sa conception de celle-ci n'est pas la même que la conception générale. Pourtant non, ce sont les calculs qui lui sont aisés.

PESSIMISME/FATALITÉ

Et oui. On le dit, moins on en sait, le plus heureux l’on vit. C’est bien connu que les plus joyeux sont les plus cons. Ou quelque chose comme ça. Car bien au fond d'elle, Alyss est pessimiste, comme beaucoup de gens le furent avant elle, pour avoir écrit sur ce mal de vivre. Elle sait bien que peu importe ce qu'elle fera, il n'y aura rien qui vas changer. Qu'on finiras tous dans le même trou. Que la vie c'est comme ça. Que ceux avec une condition de vie misérable resteront misérable. Ou enfin, on ne s’étalera pas sur ce point. De toute manière dans l'attitude générale de la jeune fille, cela ne transparait pas. Elle n'as pas pour habitude de parler d'elle. Mais parfois, lors de prise de décision, on peu remarquer ce 'a quoi bon'.

AMITIÉ/AMOUR

Là, c'est peut-être un point où l'on peut remarquer son pessimisme. Alyss n'as pas réellement d'amitié. Avec sa manière de communiquer aussi! De tout remettre en question, de chercher ce qui fait mal, de forcer les gens à quitter leur zone de confort, à interroger, à chercher les bobos. Puis à recommencer. Et puis vous imaginez en amour? Pourtant, elle est quelqu'un qui voit ces deux concepts en un seul et unique. Et puis pourquoi pas, on aime plusieurs personne, mais différemment. Elle pourrait t'aimer pour tes réactions, pour ton opinion sur le pourquoi la collectivité cherche toujours à s'élargir de manière linéaire, ou encore car tu porte tes pantalons à l'envers et tu le sait.

Alyss qui n'aime pas tellement le monde émotionnel aime pourtant aimer de manière rationnel, d'une rationalité qui n'en est pas. Et comme c'est rationnel et que le rationnel ne pars jamais, elle auras beau ne plus t'aimer, elle aimeras toujours ce côté rationnel qu'elle a trouver.

PROVOCATION/CONFRONTATION

Le but du savoir n'est pas en quelque part de confronter ces connaissance que tous le monde croit être véridique car c'est ce que l'on leur a appris? Les gens ne cherchent même pas à comprendre par eux, ils prennent ce que l'on leur donner. Aller, réveillez vous un peu. Une révolution ne ferait pas de tors. Mais à petite échelle, Alyss aime provoquer les gens, surtout ceux qui ne font aucun efforts. Elle est comme ça, se pensant parfois bien au dessus de ces gens.

V. Historique

Reconstitution historique par Alyss, dix ans.

«Bon bah l’étais une fois…
-Alyss, un peu de sérieux!
-C’est très sérieux, très très sérieux même. Alors voilà, c’était lors de la deuxième guerre mondiale, l’un de mes aïeul, qu’on se fiche pas mal du nom, un mathématicien anglais reconnu en Allemagne. Ce qu’il fichait là on se le demande bien, surtout vu le froid assez glacial entre ces deux pays. Sauf que bon, il avait une super mémoire, donc on s’en fiche. Il était là pour l’enseignement, je crois, mais avec toute la propagande nazi, toute la belle guerre qui éclata, il se réfugia loin du pays. Difficile de rentrer en Angleterre avec tout ça. Il atterrit donc ici. Il avait qu’une tête intelligente, c’est à peu près tout… »

La jeune fille semble distraite, nota l’enseignante, regardant un peu ailleurs. Cette activité semble l’ennuyer, elle à envie de passer à d’autres leçons. Mais le regard insistant la pousse à continuer.

«Bref, il décida que la culture était la chose la plus importante à ne pas perdre et il légua tout de descendants en descendants. Tout. La connaissance, le nouveau point d’honneur de cette famille et blablabla. Ne rien oublier de ce qui était et de ce qui est. C’est un peu comme ça que la famille s’est fait une place dans le Val. Ils travaillaient au début pour les plus riches. Calculant leurs avoir, leur proposant des affaires qui leur permettaient d’agrandir leur avoir, enfin la richesse làlà.. Conseillait, calculait, et conseillait encore. Jamais ils ne se trompaient, question chiffre. Certains meilleur que d’autres, les moins bons étaient écartés publiquement, allez zou pas beau, fait de l’air! Le nom de la famille ne devait pas être entaché, ça nous ferait honte… Honte de quoi? D’avoir une ressemblance avec les autres familles?
- Alyss, concentre-toi un peu…
-Ah ouais, donc maman et papa eurent deux filles, Dinath et Alyss. Inutile de mentionner laquelle est la plus jolie.
-Alyss...
-Quand maman était enceinte, elle à demander à Dinath comment elle devrait m’appeler et elle à dit Alice, comme le conte de papa pour enseigner les rudiments mathématique. Sauf que ça a pas plu à maman, parce qu’Alice dans le compte est une vraie cancre. Bref, Dinath aurait dit qu’elle saurait bien m’enseigner et elle à accepter. Mais au final je lui enseigne plus qu’elle ne le fait. D’ailleurs, elle à deux ans de plus que moi! Elle préfère m’appeler Chess, comme le Chat, même si on est presque certains que ce n’est pas le nom original et que c’est une déformation au travers les âges. Chess, comme l’échiquier en anglais, ne ferait pas beaucoup de sens, sauf si l’on se réfère aux notions très basique de la logique des échiquiers, mais qui … Oh, bon, bref elle m’appelle comme ça depuis quelques mois, depuis le débat semi philosophique que notre enseignante nous a fait avoir l’une contre l’autre sur les idées de l’ancienne Allemagne. »

La petite essayait tout en faisant l’exercice de chercher une cause à cette activité. Il n'y en avait vraisemblablement pas, mais elle s'y pliait, sachant que le contraire ne ferait qu'énerver ses parents.

«Donc eh, j'ai beaucoup étudier au départ avec ma maman et ma sœur, puis une institutrice privée, tout en étudiant toujours avec papa et maman. J'étais meilleur que Dinath, d'ailleurs elle a quelques difficultés, papa pense pas la laisser aller travailler dans les autres maisons noble. C'est ce qu'il arrête pas de lui répéter pour qu'elle travaille plus. Je crois qu'il aurait préférer un garçon... Parce que c'est elle qui aura l'entreprise, il parait...»

VI. Et le joueur, c'est qui ? n_n